Un voyage entre ciel et brume
Il y a des voyages qui ressemblent à un retour à soi.
Des parenthèses où le temps s’étire, où l’on respire enfin, loin du bruit du monde.
Nos six jours dans les montagnes du Pays Basque, autour de Saint-Jean-Pied-de-Port, avaient ce goût-là : celui des instants suspendus, des matins brumeux et des soirs dorés.
Le gîte, posé au bord du ciel.
Depuis les fenêtres, la vue s’ouvrait sur les montagnes basques, immenses et paisibles.
Chaque matin, la lumière changeait, parfois dorée, parfois bleutée, et les nuages caressaient les crêtes.
Nous, on restait là, silencieux, un café chaud entre les mains, à contempler le jour qui naissait.
Randonnées et chevaux sauvages : le souffle du Pays Basque
Puis venait le temps des randonnées, là où la montagne se fait plus sauvage et plus vraie.
Les sentiers s’enroulaient autour des collines, bordés de fougères et de bruyères.
Nos trois chiens couraient devant, heureux, libres, vivants.
Et, cerise sur la gâteau, comme une apparition, ils étaient là : les pottoks, ces chevaux sauvages du Pays Basque.
Leur port fier, leur regard tranquille, leur crinière emmêlée par le vent et les fougères.
Des moments suspendus, presque irréels : de ceux qu’on ne cherche pas, mais qu’on garde pour toujours.
Moi, j’ai été émue de voir tous ces chevaux, libres.
Et puis, mes courses, seule. Du dénivelé, des vautours et des vues qui coupent le souffle (un peu comme les montées, d’ailleurs).
Taïko m’a accompagné deux fois, toujours heureux et à l’écoute.
Dans les lacets du Pays Basque.
Villages basques : traditions et douceur de vivre
Les ruelles pavées de Saint-Jean-Pied-de-Port, les maisons blanches et rouges d’Ainhoa, les étals d’Espelette où flottait le parfum du piment séché.
Chaque lieu avait son accent, sa musique, sa lumière.
Les terrasses étaient accueillantes, les gens souriants, et les chiens trouvaient partout leur place.
On goûtait les fromages de brebis (avec de la confiture de cerise, toujours !), on flânait sans but, main dans la main — juste heureux d’être là.
Les soirs dorés sur les montagnes
Le soir, la montagne changeait de ton.
Le ciel se teintait d’or.
Les chiens dormaient roulés près du feu, et dehors, les étoiles semblaient si proches qu’on aurait pu les cueillir.
Nous, on jouait à la Scopa, encore et encore.
C’était simple, doux, évident.
Un peu comme si ces six jours avaient refermé une parenthèse, ou peut-être en avaient ouvert une autre.
Le Pays Basque nous a offert plus qu’un voyage :
une respiration, une lumière, une promesse de lenteur.
Et depuis ce gîte suspendu entre ciel et terre, face aux montagnes, on s’est souvenus que le bonheur, souvent, ne fait pas de bruit.
Capturer la beauté simple — avec Hoop des Bois
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